dimanche 12 octobre 2008

Son parcour




Aujourd'hui, le Maître Morya est un des cinq Maîtres de la Grande Fraternité de Lumière qui travaille avec Sanctus Germanus pour mener la terre dans le Nouvel Âge. Le Maître Morya est un des adeptes orientaux les plus connus et détient actuellement le poste de Manu de la Race de la Sixième Racine, c'est à dire la race qui s'incarne ces quelques dernières décennies.

Comme son Frère, le Maître Kuthumi, il demeure au Shigatse dans les Himalaya; un homme bien connu des habitants de ce village éloigné. Les maisons dans lesquels ils habitent sont rapprochées; ils passent une grande partie de leur temps en étroite association. C'est un homme grand, qui exsude une présence, aux cheveux et aux yeux foncés, d'expression sévère si ce n'était pour l'expression de ses yeux.  

Son Frère, le Maître Kuthumi, et lui travaille de paire car le Maître Kuthumi tient actuellement le poste d'Instructeur Mondial, jadis détenu par le Seigneur Maitreya, au fur et à mesure que la race de la sixième racine prend naissance. Puisque le Maître Morya est en tête du premier Rayon, celui de la Volonté ou du Pouvoir, son travail consiste principalement implanter les projets avec la moindre résistance .

Il assume le rôle d'Inspirateur principal auprès des hommes d'états dans le monde; il manipule les forces qui facilitent les conditions désirées favorisant l'évolution de la race. Sur le plan physique, il influence de grands dirigeants nationaux et des hommes d'états internationaux qui ont une vision lointaine. Certains grands dévas du plan mental et certains groupes d'anges l'assistent au niveau mental, afin de stimuler les dévas inférieurs à revitaliser les formes pensées sur terre, permettant ainsi de garder les formes pensée maîtresses actives, pour en faire profiter toute l'humanité.

Le Maître Morya sert d'instructeur à un grand groupe d'étudiants européens et américains; ceux-ci travaillent avec de nombreux organismes de penchant ésotérique et occulte ainsi qu'avec des hommes d'états et des politiciens sur l'échelle mondiale.

Le Maître Morya, tout comme les quatre autres Maîtres, est une âme très ancienne qui a choisit, il y a déjà des milliers d'années, de rester sur terre et de se dévouer à l'avancement de l'humanité. Nous retraçons ci-dessous la tâche énorme qu'il a accompli pour l'humanité durant ses vies antérieures innombrables et qui a abouti par la naissance de la société Théosophique avant son ascension.

Incarnations de l'Ère Précédant l'Ère des Poissons (Ère Chrétienne)

Le Maître Morya, tel que l'ont fait ses frères de la Grande Fraternité de Lumière, est une ancienne âme qui a traversé de nombreuses incarnations. On dit que sa première incarnation sur terre remonte à peu près à 600,000 av J.C. et que dans la période entre ce moment-là et la dispensation des Poissons la plus récente (soit il y a 2000 ans) le grand Maître fût roi, guerrier, général de toute la civilisation Atlantidéenne , de son empire sur terre et, vers la fin de la civilisation, Empereur de Posidonies Sud, un des derniers bastions Atlantidéens.

Pendant les milliers d'années avant notre époque chrétienne actuelle, il fût Empereur de Chine, Roi de tribu de la civilisation Inca, Pharaon d'Égypte à plusieurs reprises, et dirigeant des Indes de nombreuses fois. Lors d'une de ses incarnations aux Indes, il a même eu le privilège d'entendre prêché le Seigneur Gautama.

Ce qui nous concerne aujourd'hui sont ses incarnations depuis les deux milles dernières années, la plus récente étant celle d'Iinstructeur et de guide à Mme Blavatsky ainsi qu'à Henry Steel Olcott, fondateurs du mouvement théosophique, vers la fin du dix-neuvième siècle. Il détient aujourd'hui l'Office du Chohan du Premier Rayon, le rayon de la Volonté et Puissance Divine. Vu ses nombreuses incarnations en tant que roi et empereur, ce n'est pas surprenant qu'il soit « chargé » de ce rôle; cependant, malgré son pouvoir, ses étudiants font toujours des commentaires sur la douceur de l'expression de ses yeux et la douceur de ses manières.

Examinons ses incarnations les plus récentes afin de comprendre cette grande et ancienne âme qui vit parmi nous aujourd'hui même.

Le Maître Morya est un des Rois Mages

D'après l'évangile selon verseau, les trois Rois Mages qui ont suivi l'étoile de la Perse à Bethlehem se nommaient Hor, Lun et Mer. Du fait que ceux-ci entreprirent un si long voyage depuis la Perse uniquement pour voir le roi nouveau-né, le Roi Hérode a pris peur. Connaissant la façon de penser de Hérode, les Rois Mages avertirent le père Joseph (Sanctus Germanus) de la traîtrise du Roi Hérode.

Ces trois furent membre de l'ordre des Rois Mages, une secte Zoroastrienne dirigée par 3 Rois Mages principaux, nommés Balthasar, Melchior et Caspar. Dans ces incarnations, Balthasar fut le Maître Kuthumi; Melchior, le Maître Morya et Caspar, le Maître Djwal Khul. D'après l'évangile selon verseau, les chefs Mages ne rencontrèrent Jésus que lorsqu'Il était devenu adulte, âgé de vingt-quatre ans. Jésus avait voyagé à travers les Indes ou il étudia les anciens mystères de la Fraternité; à son retour à Nazareth, il passa par la Perse. Les trois Mages, Hor, Lun et Mer, étant clairvoyants, fut au courant de son arrivée et l'accueillirent joyeusement dans les rues et le ramenèrent chez eux où ils le présentèrent à Balthasar, Melchior et Caspar.

Lorsque les sept se réunirent, ils furent assis en silence pendant sept jours, sachant que Jésus faisait partie de la Fraternité du Silence. Lorsqu'ils entendirent la réponse de Jésus à leurs questions concernant certaines contradictions de la religion Zoroastre, ils savaient qu'Il était le grand instructeur.

Les Mages firent leurs adieux à Jésus lorsqu'Il les quitta pour poursuivre sa route vers Nazareth. Quelques jours plus tard, lorsque les six Mages furent réunis, Jésus parut soudainement parmi eux et déclara qu'ils furent les premiers à témoigner sa transmutation dans la chaire, ce qui avait été prévu beaucoup plus tard lorsqu'il aurait à paraître devant les douze disciples après sa crucifixion. En tant que frères de la Fraternité du Silence, les six Mages eurent un aperçu de la transmutation de Jésus.

On dit que pendant cette incarnation, les trois chefs Mages eurent l'opportunité de faire leur ascension mais ils préférèrent restés sur terre le temps de fonder le mouvement théosophique vers la fin du dix-neuvième siècle.

Le Maître Morya et le Roi Arthur au 6 ième siècle AD

Des siècles plus tard, le Maître Morya a réincarné dans la personne du Roi Arthur sous la tutelle du mystique ou du magicien Merlin (Sanctus Germanus). Selon la tradition, Merlin se chargea de la conception d'Arthur au moment ou le Roi Uther Pendragon d'Angleterre tomba amoureux de Ygraine, une femme mariée. Merlin transforma le Roi Uther de façon à ressembler au mari d'Ygraine afin qu'elle puisse coucher avec lui. Arthur fut conçu à ce moment-là.

Après la naissance d'Arthur, Merlin le mena chez Hector pour l'élever parmi les communs. Après la mort du Roi Uther Pendragon, Merlin avisa les barons d'Angleterre que Dieu avait conçu une épreuve pour déterminer qui serait le successeur au trône. Devant la cathédrale, Merlin fit apparaître un énorme rocher, chapeauté d'une enclume, dans lequel se trouva enfuie une épée. Seul le futur roi légitime d'Angleterre ne saurait soutirer l'épée, et bien sûr, Arthur réussit.

De par ses origines humbles, Arthur sût faire face à une forte opposition provenant des nobles britanniques à l'égard de sa prétention royale, mais éventuellement il fût couronné. Afin de l'assister à diriger l'Angleterre, une main sortit mystérieusement du lac et lui offrit la grande épée, Excalibur.

Avec l'aide de Merlin, Arthur expulsa les étrangers de l'Angleterre en entreprenant une série de guerres, de conquêtes et d'invasions. L'Angleterre connut une longue période de paix et de sécurité pendant laquelle le Roi Arthur établit un royaume basé sur la justice, l'ordre et la moralité. Il tint cours au château à Camelot et fonda l'ordre les Chevaliers de la Table Ronde. La forme de la table assure que tous ceux présents sont de statut égal.

Éventuellement son royaume s'effrita, suite à son propre déclin moral et suite à des invasions venant d'ailleurs. Arthur finit même par tuer son propre fils illégitime, Mordred, qui essaya d'usurper le trône. Avant de mourir, Mordred infligea des blessures morales à son père Arthur. De nombreuses versions de la légende d'Arthur prévoient son retour éventuel, lorsque l'Angleterre aura à nouveau besoin de lui.

Nous remarquons que lors de cette incarnation la Fraternité essaya de fonder une société juste et un système de gouvernement équitable, mais, comme toutes idées illuminées, elles sont assujetties à l'attaque et au dénigrement des forces du mal, les Forces des Ténèbres.

Le Maître Morya et Sir Thomas More (1478 – 1535)

En tant que l'homme d'état et écrivain, Thomas More, le Maître Morya pris une position religieuse ferme à l'encontre du Roi Henry VIII, ce qui lui coûta la vie.

More fut né à Londres le 7 février, 1478; éduqué à Canterbury Hall (maintenant Christ Church) de l'université Oxford. Il étudia le droit après ses années à Oxford, mais son intérêt principal résidait dans la science, la théologie et la littérature. En tant que jeune adulte, il écrivit des comédies et passa de nombreuses heures à l'étude de la littérature grecque et latine. En 1499, il décida de devenir moine et s'assujettit à la discipline chartreuse. Quatre ans plus tard, More abandonna ce projet et en 1504 entra au parlement.

Une de ses premières actions fut d'encourager une diminution de l'appropriation proposée par le Roi Henri VII. En revanche, le roi emprisonna le père de More et ne le relâcha pas avant que l'amende soit payée et que More démissionne de la vie publique. Après la mort du roi en 1509, More reprit son activité. En 1510, il fut nommé le sous sheriff de Londres.

Au fil des dix années qui suivirent, More attira l'attention du Roi Henri VIII et servit souvent de diplomate aux Pays Bas. En 1518 il devint membre du Conseil Privé; il fut nommé chevalier en 1521. Deux ans plus tard, More devint Président de la Chambre des Communes. Pendant cette période, Henri VIII fut de More un de ses préférés et rechercha sa compagnie fréquemment pour tenir des conversations philosophiques.

More devint Président de la Haute Cour de Justice en 1529, le premier laïque à être nommé à ce poste. Sa vie prit changea cependant lorsqu'il refusa d'appuyer la demande d'Henri de divorcer Catherine d'Aragon. Les scrupules religieux de More ne lui permirent pas de défier l'autorité du pape. Il démissionna et 1532 et disparut de la scène politique.

Le roi n'approuva pas l'attitude de son ancien ami et le fit emprisonné en 1534. More passa en cours l'année suivante; même à ce moment là il refusa de jurer à la suprématie, affirmant que le Parlement n'avait pas le droit d'usurper l'autorité du pape en faveur du roi. Condamné pour son opinion, More fut décapité le 7 juillet 1535. En 1935 l'Église Catholique Romaine le canonisa.

More est connu pour son œuvre « Utopie » (1516), un compte rendu satirique de la vie sur l' île imaginaire Utopie. Sur cette île, les intérêts d'un chacun passe en deuxième rang aux intérêts de la société dans son ensemble, toute personne doit travailler, l'éducation est universelle, la pratique de la tolérance religieuse règne et la terre appartient à l'ensemble. Ces conditions sont en contraste marqué avec celles de la société anglaise, au désavantage de celle-ci. Utopie était le précurseur d'ne série de livres semblables, dont « Candide », le mieux connu, de l'auteur et philosophe français Voltaire, « Erewhon » du romancier anglais Samuel Butler et « Un rêve de John Ball » par le poète et artiste anglais, William Morris.

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Le Maître Morya et l'Empereur Akbar (1542 – 1605)

El Morya en tant que troisième empereur moghol aux Indes (1556-1605), Abkar, fut reconnu comme vrai fondateur de l'Empire moghol qui réussit à unir et diriger le sous continent indien jusqu'en 1858. Fils de l'Empereur Humayun, il fut né à Umarkot, Sind (maintenant le Pakistan), et succéda au trône à l'âge de 13 ans. Il régna sous le régent Bairam Khan, qui réussit à re-capturer, pour le jeune empereur, une grande partie du territoire usurpé à la mort de son père. Cependant, en 1560, Akbar reprit le gouvernement sous son contrôle car il se rendit compte que pour diriger tout l'empire indien il dû être accepté des Hindous et savoir les diriger. Il gagna alliance avec les Rajputs, les Hindous les plus belliqueux, en faisant preuve de tolérance, de générosité et de force; il maria deux princesses Rajputs.

Ayant ainsi assuré le contrôle des Hindous, il élargit son royaume par la conquête de territoire allant jusqu'en Afghanistan, la Baie de Bengal, des Himalaya jusqu'à la rivière Godâvari. L'empire moghul dura jusqu'en 1858.

Le succès ressortissant d'Akbar fut celui d'établir un système administratif efficace qui lia l'empire, qui stimula l'échange et le développement économique. Il lança une nouvelle religion, le Dini-ilahi (Foi Divine), un mélange islamique, brahmane, chrétien et zoroastre. Malgré l'échec de cet effort, Akbar s'entoura d'hommes éduqués de toutes les fois et, malgré qu'il soit lui-même illettré, fut de sa cour un centre pour les arts et les lettres.

Son fils ainé, Janhangir, le succéda en 1605; à son tour il eu pour fils Shah Jahan, l'incarnation du Maître Kuthumi, qui construisit le fameux Taj Mahal. Donc El Morya, en tant qu'Empereur Akbar, fut le grand-père de son proche collègue, qui, dans cette lignées, fut le Maître Kuthumi.

Le Maître Morya et Thomas Moore (1779 – 1852)

Le Maître Morya ensuite incarna comme poète irlandais appartenant au mouvement romantique. En tant que Thomas Moore, il naquit à Dublin et reçut son éducation au Collège Trinity, à Dublin. Il vécut principalement à Londres, à l'exception de ses voyages en Amérique de Nord en 1803 et un séjour à Paris après 1817.

Moore fut aussi régulièrement provocateur en matières politiques; par exemple, ses « Mélodies Irlandaises» exsude la tradition nationaliste irlandaise, ses nombreuses satires de toutes sortes qui décrivent les habitudes et les institutions anglaises; même si elles sont typiquement humoristes, elles savent piquer.

Il s'impliqua dans les questions politiques et économiques de son temps en tant que poète. Il aiguilla constamment les politiciens; ses poèmes traitant, entre autres, de la controverse de l'or en barre (le standard étant l'or), la dette publique, les lois sur le maïs (lois qui favorisaient une classe en particulier) et d'autres ordres du jour. Ces mêmes questions nous poursuivent au 21 ème siècle avec ces controverses sur la dette publique et le retour au standard d'or.

Il était question, par exemple, de reprendre le paiement en espèces (c.à. d. d'obliger les banques par la loi de payer les porteurs de billets en pièces d'or sur demande). Pendant les guerres de Napoléon, la menace d'une invasion par les Français autour des années 1800 a entraîné une ruée sur la Banque d'Angleterre et d'autres banques. Ceci mena le gouvernement à suspendre l'obligation des banques à échanger leurs billets sur demande par des paiements en or. Cette exemption a persisté pendant les guerres – en grande partie parce que ça permettait au gouvernement de financer la guerre. Durant l'après-guerre (autours de 1815 – 1825), l'Angleterre connut une baisse économique, la question de payer en espèces est revenue à la surface. Les auteurs Thornton et Ricardo s'opposèrent vivement à la dispensation et argumentèrent pour le remboursement en espèces –argumentant que si la dispensation se poursuivait, les banques émettraient des notes bien au-delà de leur réserve d'or qui, prévoyaient-ils, serait inflationniste (au début de l'époque de la Théorie Quantitative.)

La plus grande partie des vers romantiques est caractérisée d'une qualité musicale nostalgique et se rapporte aux thèmes de patriotisme et d'amour. Sa grande œuvre, une traduction de « Odes à Anacreon » (1800), le projeta aux feux de la rampe. « Lalla Rookh » (1817), un poème narratif dans le cadre exotique des Indes, fut aussi très populaire. « Mélodies irlandaises » (1807-34), une collection de 130 poèmes qui comprend, entre autres, les titres bien connus, tel que « La dernière rose de l'été », « L'harpe qui traversa les Halls de Tara », et « Le ménestrel » est son œuvre la mieux connue. More rédigea aussi une satire « La famille Fudge à Paris» (1818), une « Histoire de l'Irlande » (1827) et une excellente biographie (1830) de son ami le Seigneur Byron, dont il brûla les mémoires pour protéger la réputation du poète.

Il est intéressant de noter comment, aussi bien dans le rôle de Thomas More que de Thomas Moore, le Maître Morya vivat en dehors de son contexte habituel du Premier Rayon en tant que roi ou gouverneur. Il vivat la vie de celui qui critique ceux au pouvoir, tant et si bien que dans un cas, cela lui a valu la mort. C'est à nouveau un exemple de l'équilibre karmique, tel que nous l'avons vu dans la vie des autres Maîtres.

Le Maître Morya et L'instructeur des Fondateurs de la Société Théosophique

Vers la fin des années 1800, le Maître Morya prit la forme d'un prince Rajput, et pendant des décennies, remplissât un poste d'importance dans les affaires indiennes. En tant qu'adepte sur le plan physique, aux côtés de ses collègues proches, les Maîtres Kuthumi et Djwal Khul, il prit en charge les deux fondateurs de la Société Théosophique, Madame H.P. Blavatsky et le Colonel Henry Steel Olcott, afin de les entraîner et de les guider dans la fondation de ce qui allait être la première de nombreuses matérialisations de la Sagesse Immémoriale pour la civilisation occidentale.

Dans leur appartement à New York, le Maître Morya, ainsi que ses assistants dévas, versèrent de l'information à Mme. Blavatsky, information qu'elle ne connaissait pas ou qu'elle n'aurait pu connaître, pour prendre forme dans le livre « Isis Dévoile », une œuvre qui lança le défi à toutes les institutions religieuses en dévoilant que TOUTES les religions proviennent de la même origine, voire la Sagesse Immémoriale de la Fraternité. Ceci créa de force une grande fureur parmi les chrétiens et une grande satisfaction auprès des frères de la Grande Fraternité de Lumière.

Une fois que les fondateurs déménagèrent aux Indes pour établir les quartiers généraux de la Société Théosophique à Advar, le Maître Morya continua à les guider, en faisant des apparitions occasionnelles ou en précipitant des conseils sous forme de lettres. Il fut en contact télépathique constant avec Mme Blavatsky jusqu'à sa mort en 1891. C'est à ce moment qu'il décida de faire son ascension pour être avec son proche collègue, le Maître Kuthumi.

Aujourd'hui, les initiés et les disciples sur le plan physique, qui travaillent dans l'Ashram du Maître Morya, font principalement de la promotion de synthèse dans le monde politique et auprès des gouvernements, tout en essayant de préserver la liberté en unisson. Ils tentent une synthèse subjective d'idées divergentes qui serviront d'énergie unificatrice pour éventuellement emmener la paix et la compréhension sur terre – une paix qui préservera la culture de l'individu aussi bien que la culture nationale, mais qui rendra toutes deux secondaires au bien de l'humanité.